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Péripétie d'une femme célibataire

23 avril 2009

Voici le début de cette histoire

Les péripéties d'une femme célibataire

Pour ne pas frustrer personnes je ne metterai pas les vrais noms. Par contre le contenu de ce récit est véridique. Certaines personnes vont se reconnaïtre.

Plusieurs personnes m'ont dit que je devrais écrire les évènements qui m'arrivent à moi et à mes proches. Je prends donc le temps de le faire. Je vais reculer dans le temps car pour savoir où je vais je dois vous dire d’ où je viens.... Alors amusez vous à lire ce que je vais essayer de raconter sans oublier un détail de cette croustillante vie qui est la mienne:

Pourquoi devrais-je passer outre le temps ou je suis née. En plein hiver fût la naissance d'une petite fille qui entourer de ses parents, frère et soeurs voulu grandir en douceur. Qui ce rappelle le temps de leur jeunesse pas moi en tout cas. Jusqu'à l'age de 4 ou 5 ans j'ai de vaste souvenirs. On demeuraient à la campagne et lorsque je voulais suivre les plus grands j'avais droit aux pommes de route pour que je retourne à la maison au plus vite. Alors, je retournais pleurer dans les jupes de ma mère. Il y avait un petit voisin qui ne parlait que l'anglais. J'allais parfois jouer avec lui on étaient les seuls enfants du rang. En 1966 on a déménagé au village, wow quel changement de vie.

Je vais vous épargner les années 1966 à 1999. À moins qu'il n'y ait un évènement qui s'y rattache. À l'automne 2000, on a fait installer l'internet dans la maison. Je n'y voyais pas vraiment l'interêt mais j'étais curieuse de voir ce qu'il y avait là-dessus. Le tchat ne faisait que commencer pour moi. Il y avait un site qui s'appellait Odigo et on pouvait avoir des communications avec l'étranger. Je ne voulais pas parler avec les gens du Québec car je me disais que je ne voulais pas rencontrer personne. Je prennais ca comme-ci j'écrivais dans un livre sauf que le livre me répondait. Je me confiais à cette personne. Ma vie n'était pas des plus heureuse à ce moment là. Mon mari buvait et il était injurieux envers moi. Un jour, cette personne me posa une question, la question qui a tout fait basculer en dedans de moi. EST-CE QUE TU ES HEUREUSE?  J'ai dû réfléchir au moins 2 semaines à cette question. J'avais 40 ans et je n'avais rien fait de ma vie sauf d'avoir eu mes enfants et de les avoir éléver. Ma réponse après ce temps a été que NON je n'étais pas heureuse dans ma vie. Nos conversations par la suite son devenus plus intime. En décembre 2000, je dis à mon mari que je pars en voyage pour l'Espagne.

Donc, le 8 mars 2001, je pars pour l'Espagne. Ce voyage fût pour moi très révélateur sur les expériences sexuelles. J'avais manqué ça dans ma vie. Je ne savais pas que l'on pouvait avoir du plaisir dans les jeux de l'Amour. Cet homme m'a fait découvrir mon corps de femme qui était endormi au plus profond de moi. Remarquez qu'il n'a pas eu à aller fouiller bien loin car en chaque femme se cache une qualité qui peut surprendre chacune d'elle. Je suis donc partie sans connaître celui où j'allais rester durant 1 mois. Je le nommerai Florient. Je n'avais jamais pris l'avion et de plus j'étais seule donc aucune référence mais j'étais prête dans ma tête. Un homme charmant qui peut enjôler bien des femmes. Un verseau est-ce que cela peut jouer dans l'approche on verra avec le temps. La vie là-bas n'est pas sur le même rythme que nous mais je peux vous dire que l'on s'y fait facilement. Je ne parlais pas l'espagnol mais au bout de la 2ième semaine je pouvais aller au magasin toute seule et je réussissais à me faire comprendre. Lors de mon arrivée chez lui, je suis montée sur la 2ième marche de l'escalier car il faut dire qu'il est grand. On s'est alors embrassé tout en douceur. Le soir même disons que j'étais une attraction pour sa famille, fallait que ses parents viennent voir qui j'étais. Cette Québécoise qui débarque chez leur fils bien-aimé.... Tout ce que j'ai retenu de cette soirée c'est: Mais qu'est-ce qu'elle dit, l'accent québécois, ils ne comprenaient pas tout ce que je disais. Le plaisir que j'ai pu avoir dans ce pays, mes souvenirs sont encore présents malgré le temps passé. Nous allions nous promener dans les rues de la ville San Pedro d'Alcantara. Un jour lors de l'une de ses promenades, si vous me connaissez un peu, je m'enfarge dans les craques du plancher alors.... imaginez, il y avait une petite terrasse et il fallait monter environ 5 marches. Je me suis enfargée dans je ne sais pas quoi mais me voilà sur les genoux de la troisième marche la jupe en l'air. J'ai oublié de préciser que je ne portais pas de petite culotte. On n'est pas seul, si vous voyez ce que je veux dire. Le monsieur qui était derrière moi s'est rincé l' oeil pis pas à peu près. J'étais rouge de la tête aux pieds et Florient qui riait comme un bon. Le soleil n'est pas pareil par là. Il est plus proche donc au mois de mars, il peut faire 20c dans la journée alors on s'habille légèrement. Florient n'en revenait pas de me voir toujours entrain de m'étaler de tout mon long ou de me cogner sur les pots de fleurs qui bordent les fenêtres. Sur les trottoirs , ils ont des poteaux pour les lumières de rues, crime qu'ils sont durs. Ils ne bougent pas eux.... Bref, ce fût une expérience des plus fleurissante dans ma vie. Comme j'aurais aimé ne jamais revenir à la réalité. Je suis restée sur un nuage durant quelques mois après mon retour. Mon rêve de retourner en Espagne s'est évanouie avec le temps. Rien ne coordonnait. La séparation prenait un temps fou. Mon billet pour travailler là-bas n'était plus valide. Et Florient n'espérait plus mon retour. De fil en aiguille je suis revenue sur terre.

Quelques mois plus tard, je fis la rencontre de Christian (nom fictif). Grand et plus jeune que moi. Il vivait dans la région de Lanaudière. Ouillle, méchant baiseur, il avait un tour spécial, disons qu'il n'était pas sorti de la dernière pluie. Je l'ai fréquenté durant 5 mois et nous parlions de tout et de rien et un jour je lui dit que je ne veux plus de chat et à un autre moment donné je lui dit que mes enfants sont grands et que je ne suis pas une gardienne car il avait tendance à vouloir que je garde ses enfants. Vers le milieu de décembre, il m'a demandé d'aller vivre avec lui. Au bout d'un temps j'ai accepté son offre pour plusieurs raisons mais pour les raisons de cet écrit je vous donnerai celle-ci  (il baisait bien). Lors de mon arrivée le 26 janvier ses enfants sont là et il me dit d'aller voir au salon qu'il a une surprise pour moi. J'entre dans le salon et qu'est ce que je vois UN CHAT. Y'a vraiment rien compris. Lorsque je ne vivais pas avec lui, je savais qu'il fumait du pot mais il me disait qu'il ne fumait que lorsqu'il était en congé alors je ne voyais pas le problème, 2 mois après mon arrivée je me posais de sérieuses questions car il fumait à tous les jours. Le matin avant de partir travailler et le soir en arrivant et avant de se coucher. Donc, je me demandais ce qui le poussait à fumer autant. Je lui pose la question et il me répond que si il m'avait dit la vérité je ne serais jamais aller vivre avec lui. Je me suis mis les pieds dans les plats et pas à peu près. Après 9 mois de vie commune, la lassitude s'est installée, la fatigue, faire l'amour 3 fois par jour durant 9 mois disons que ça fatigue sa femme. J'adorais ce rythme car je me sentais femme.... mais il avait le caractère d'un gros bébé. Et il faisait des crises a pu finir. J'ai donc fait les démarches pour venir vivre chez ma mère.

Lorsque je suis venue vivre avec ma mère, j'ai fait quelques rencontres peu fleurissantes. Je m'étais inscrite à un site de rencontre vu que je ne sortais pas dans les bars, je voulais tout de même avoir une vie sociale alors les recherches pour rencontrer sont de mises. Début d'une longue file d'attente lolll. Plusieurs hommes qui  se succèdent à tour de rôle. Certains valaient la peine mais je n'accroche à aucun. Un jeune de 29 ans me fait la cour ayoye !!!!!! c'est peut être flatteur mais je ne veux rien savoir car il est trop jeune. Je rencontre un homme qui demeure à Magog. On se donne rendez-vous au Tim pour prendre un lunch. Je paie mon repas (normal). On jase une partie de la soirée, on va se louer un film (que je paie) je lui dis que l'on peut aller chez moi, cela ne m'inquiète pas car je vis avec ma mère. Lors de son départ, il oublie son chandail de laine. Je lui envoie un message pour lui signaler son oubli. Alors on se donne rendez-vous au Carrefour dans un petit resto pour prendre un café. Je paie mon café et le sien, là dans ma tête ça fait : calinne même pas capable de payer le café...... pas fort le monsieur..... De toute façon, il embrasse mal et son regard ne m'attire pas. Plus revu par la suite. Le suivant, un autre de Magog, il n'a pas d'auto donc je me rend à Magog au Mc Donald. Ouille, tsé le genre de gars que tu te demandes ce que tu fais là. On va dans un resto chinois pour manger. Au moins, lui paye la facture mais quand il parle, il a sur les lèvres un petit machin blanc qui réunit ses lèvres. C'est dégueullase pas capable. Lorsqu'il veut m'embrasser, je tourne la tête pour que ses lèvres touchent ma joue. Pas question que cela aille plus loin.... Je retourne chez moi oufffffffff. Les recherches continuent, je rencontre un homme de mon âge, il est charmant, pas très grand mais comme il me plait, Maxime(nom fictif) je le vois plusieurs fois, on se promène en auto, on jase et à un moment donné je vais chez lui. Tout est dans le meilleur des mondes. Je lui demande si on peut se voir la fin de semaine et quel ne fût pas ma surprise IL EST MARIÉ. Fin de l'idylle. Pas question que je joue à ce jeu de la maîtresse. Recherche oblige: Je rencontre Francis(nom fictif) on va au cinéma. Même pas un touché de la main. Je me dis ok il est réservé. Je le rencontre quelques fois. Aucun touché n'avait eu lieu encore. À notre dernière rencontre on va chez lui. Ça fait 2 semaines que l'on se voit  régulièrement. Je me dit bon y'é décidé. Ben non, encore une autre fois rien.... Y'a un problème en quelque part. Même pas un french en 2 semaines........ Je ne le revois pas.... Coudon, on est adulte, les pulsions ça existe..... Ma recherche continue. Un homme de la rive sud apparaît, il vient me rencontrer, on va au resto le repas terminé ( cela fait un bout qu'aucun homme ne m'a touché) alors ça boummmmm. Il repart chez lui ben content et moi aussi lolll. Recherche de l'homme parfait pour moi, je continue mes recherches, l'été est arrivé ça me tente pas vraiment de rester dans la maison. On est en 2003, le printemps frappe de plein fouet même à l'intérieur de mon corps, je fais la rencontre de Stéphane(nom fictif) beau bonhomme. Il demeure sur le bord de la rivière Richelieu. Je le rencontre au restaurant à Valcourt. Disons que l'on a pas niaiser avec le poque. Motel oblige. On se fréquente une partie du printemps et du début de l'été. Je vais le rejoindre chez lui et on fait de la moto. On va à la plage d'Oka, on fait du nudisme sur cette plage. Première expérience, on en voit de toutes les couleurs et de tous les formats.... Expérience à faire si vous avez quelques complexes. Ça se termine je ne sais pourquoi. La distance peut être.... Il m'a donné comme raison que j'avais les cheveux frisés, ayoye méchante raison. Alors dans un élan de riposte, je le contacte sur un autre nom et je le fais parler de ses conquêtes. Et à un moment donné, il parle de moi. Et ce qu'il dit de moi me met dans un furie de vengeance. Je lui donne rendez vous à Drummondville au St Hubert. Il s'y est rendu le con. Lorsque je lui ai reparlé toujours sous mon faux nick, il me dit s'y être rendu et que j'y étais pas. Je lui ai fait comme réponse que j'y étais mais lorsque je l'ai vu j'ai viré de bord car il avait l'air trop vieux et qu'il avait l'air d'un alcoolo.... point à la ligne. Lorsque vous rencontrez une femme vous devriez être honnêtes messieurs avec elle. Ne donnez pas de fausses excuses. Recherche oblige: Je rencontre un homme de Sherbrooke enfin il est jeune, grand 6'2" et pas laid du tout, Victor (nom fictif) je le vois durant un temps mais nos vies sont trop différentes pour que cela colle vraiment entre nous mais je l'ai bien apprécié cet homme. Pas méchant pour 2 sous. On rigolait. Voilà qu'un dimanche matin de printemps arrive dans ma vie un homme de Montréal, Pierre charmant monsieur. On jase sur msn et il me demande ce que je fais ce dimanche je lui dit que je vais chez ma sœur pour aller à la cabane à sucre quel ne fût pas ma surprise de l'inviter et il a accepté nous nous sommes fréquentés tout l'été et lorsque l'hiver est arrivé lors de son retour chez lui, il a pris le clos, il a pas très apprécié ce contre-temps. Nos rencontres se sont espacés pour finir dans l'oubli.  Dommage, car il baisait comme j'aimais. Recherche oblige mais là, je prend du recul car les fréquentations à longue distance ne m'intéresse plus vraiment. Ce printemps là je fais une rencontre qui par le plus grand du hasard fait que le type demeure dans le même immeuble que moi. On se voit quelques fois mais ce n'est pas le grand amour. Ça tombe dans l'oubli total. Au mois d'août je rencontre Mathieu(nom fictif) j'ai des idées sur ce que je veux mais comment établir vraiment ce que je recherche. Je suis célibataire et bien des idées se promènent dans ma tête. Je recherche des émotions fortes alors l'idée de faire l'amour à 3 me traverse l'esprit et ce Mathieu dit qu'il l'a déjà fait. Alors, on fait des recherches ensemble. On n'en parle beaucoup et je lui demande, si je décidais de ne plus faire ce truc, il me répond que ce n'est pas grave qu'il survivrait. Les mois s'écoulent et quelque chose se produit en moi. Je commence à l'aimer et je ne me vois pas le partager avec une autre. Le fait juste d'imaginer une autre dans ses bras me faisait chavirer. Donc, je lui dit que non, que je ne veux plus le faire. On a vécu ensemble durant 3 ans. Dans la dernière année, il m'a offert à son copain comme si j'étais une marchandise. J'ai hais ce moment-là de ma vie. Il me disait que je l'avais eu avec de belles promesses de baise à 3. Il me parlait comme ça lorsqu'il prenait un verre de trop et cela était souvent durant la dernière année, presqu'à tous les 3 jours. Je crois qu'il ne m'aimait pas vraiment pour ce que j'étais mais plus pour ce que j'aurais pu faire avec lui et d'autres. J'ai mis fin à cette vie commune en nov 2008.

Depuis cette séparation je fais des rencontres pas toujours très brillantes.

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